21/02/2013
Auguste Rodin
Iris, messagère des Dieux vers 1895
05:20 Publié dans sculpture | Lien permanent | Commentaires (1)
à l'origine...
l'Art est emmêlement de l'homme & de l'inconnu qui l'assiège. (d'après André Malraux)
Vos impressions
Espaces virtuels de l'art
- ~ à la recherche des formes
- ~ annuaire des Arts
- ~ Arnet
- ~ art brut
- ~ art roman 1
- ~ art roman 2
- ~ Arte creative
- ~ Artémis Dreaming
- ~ arts premiers
- ~ encyclopédie de l'art 1
- ~ encyclopédie de la peinture 1
- ~ encyclopédie de la peinture 2
- ~ encyclopédie de la peinture 3
- ~ encyclopédie du street art
- ~ le corps dans l'art
- ~ le nu peint depuis le 15è s
- ~ mine d'art
- ~ musée imaginaire Malraux
- ~ musée imaginaire virtuel
- ~ musées du monde
- ~ peinture chinoise & Occident
- ~ pétroglyphes
- ~ sculpture paléoltithique
- ~ Ubu web
Rechercher
Commentaires
entre Rodin et la pierre du paleo, on ne peut pas choisir. Avec cette oeuvre c'est l'entrée en scène du voyeur. l"incorporation" de Rodin est impressionnante. en lutte contre une époque qui ignore le corps femme, poussant l'essai dans ses tranchées quasi pornographiques on voit ici qu'on désacralise le mystère pour mieux en prendre possession. et il n'est pas interdit de penser -au vu de ce que Camille Claudel a vécu- qu'il y ait aussi une part de domination très macho ... l'art est dans sa parfaite ambiguïté. esthétique magnifique- expression "sacrilège".
après la magnificence du corps de la renaisssance, son idéalisation romantique, voici qu'entre dans l'art l'humain dans sa crudité et sa laideur aussi ... (ceci dit pour cette sculpture et pour d'autres oeuvres de Rodin. le beau n'est plus l'objet essentiel de l'art.)
Écrit par : annaj | 21/02/2013
Les commentaires sont fermés.